Édition du lundi 25 janvier 2016
Un appel à projets pour développer les « Réseaux thématiques French Tech »
Le ministère de l’Economie a lancé le 19 janvier un appel à projets autour des « réseaux thématiques French Tech ». Ce dispositif vise à compléter celui des métropoles French Tech, qui a vu la labellisation de 13 métropoles en 2014-2015. Porté par des collectivités, le label FrenchTech contribue à dynamiser l’économie locale en facilitant l’accès des startups et PME innovantes à des financements et à leur donner une visibilité internationale.
Ce nouvel à projets répond à la demande de nombreuses villes souhaitant bénéficier de cette dynamique et de l’étendre au delà des entreprises numériques. Il fait suite de la labellisation en juin 2015 « à titre de préfiguration » d’Avignon pour la culture, d’Angers pour l'internet des objets, de l'Alsace pour la e-santé et de Saint-Etienne pour le design. Les réseaux thématiques ont pour ambition de créer des « écosystèmes locaux de startups actifs et engagés », de « renforcer la dynamique entrepreneuriale nationale dans quelques secteurs clefs » et de faire émerger des « champions internationaux ».
L’appel à projet cite le sport, l'éducation, la finance, la santé, l'agriculture et le tourisme parmi les thématiques possibles ; les territoires pouvant cependant proposer d’autres filières. Il est ouvert à « tous les territoires », labellisés ou non. Pour candidater, les territoires doivent témoigner d’un écosystème entrepreneurial existant dans la thématique retenue. Il est précisé que « l’écosystème de startups d’un territoire ne se définit pas par des frontières institutionnelles mais par une concentration d’acteurs et de ressources ». Un écosystème French Tech peut ainsi éventuellement couvrir plusieurs territoires institutionnels.
Le candidat doit ensuite proposer une stratégie ambitieuse de développement de son écosystème et s’appuyer sur des acteurs du territoire mobilisés et fédérés. Si le projet doit reposer sur « un leadership confié aux entrepreneurs » et s’organiser autour « référent thématique » il doit présenter des espaces identifiés et des infrastructures favorables au développement des entreprises. C’est essentiellement sur ce volet infrastructures – très haut débit, incubateurs de startups, hôtels d’entreprises…- et animation du dispositif que la mobilisation des collectivités est attendue. La labellisation n’ouvre droit à aucune forme de subvention, les financements FrenchTech étant destinés à favoriser l’accès des startups à l’international, comme leur participation à de grandes manifestations comme le salon CES de Las Vegas.
Les territoires ont jusqu'au 11 avril prochain pour candidater seuls ou à plusieurs. Les premières labellisations, valables deux ans, sont attendues pour l’été 2016.
Ce nouvel à projets répond à la demande de nombreuses villes souhaitant bénéficier de cette dynamique et de l’étendre au delà des entreprises numériques. Il fait suite de la labellisation en juin 2015 « à titre de préfiguration » d’Avignon pour la culture, d’Angers pour l'internet des objets, de l'Alsace pour la e-santé et de Saint-Etienne pour le design. Les réseaux thématiques ont pour ambition de créer des « écosystèmes locaux de startups actifs et engagés », de « renforcer la dynamique entrepreneuriale nationale dans quelques secteurs clefs » et de faire émerger des « champions internationaux ».
L’appel à projet cite le sport, l'éducation, la finance, la santé, l'agriculture et le tourisme parmi les thématiques possibles ; les territoires pouvant cependant proposer d’autres filières. Il est ouvert à « tous les territoires », labellisés ou non. Pour candidater, les territoires doivent témoigner d’un écosystème entrepreneurial existant dans la thématique retenue. Il est précisé que « l’écosystème de startups d’un territoire ne se définit pas par des frontières institutionnelles mais par une concentration d’acteurs et de ressources ». Un écosystème French Tech peut ainsi éventuellement couvrir plusieurs territoires institutionnels.
Le candidat doit ensuite proposer une stratégie ambitieuse de développement de son écosystème et s’appuyer sur des acteurs du territoire mobilisés et fédérés. Si le projet doit reposer sur « un leadership confié aux entrepreneurs » et s’organiser autour « référent thématique » il doit présenter des espaces identifiés et des infrastructures favorables au développement des entreprises. C’est essentiellement sur ce volet infrastructures – très haut débit, incubateurs de startups, hôtels d’entreprises…- et animation du dispositif que la mobilisation des collectivités est attendue. La labellisation n’ouvre droit à aucune forme de subvention, les financements FrenchTech étant destinés à favoriser l’accès des startups à l’international, comme leur participation à de grandes manifestations comme le salon CES de Las Vegas.
Les territoires ont jusqu'au 11 avril prochain pour candidater seuls ou à plusieurs. Les premières labellisations, valables deux ans, sont attendues pour l’été 2016.
O.D.
Télécharger l’appel à candidature.Suivez Maire info sur Twitter : @Maireinfo2
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